Imaginez pouvoir réaliser tous vos rêves grâce à votre engagement, à votre constance et à votre discipline. Imaginez avoir cette liberté de vivre votre vie comme vous l’avez décidé, selon votre propre horaire et vos propres convictions, dans une maîtrise absolue de la situation. Imaginez à quel point la vie est belle pour un entrepreneur heureux de vivre son rêve et de participer à la parade — et de ne pas seulement la regarder.

Maintenant, imaginez que d’un coup, un jour ordinaire de semaine, vous faites une crise cardiaque. Personne de votre entourage n’est encore au courant, car vous êtes tombé sur le plancher au travail, victime d’un profond malaise, avant que votre adjointe impuissante compose le 911. Votre vie vient tout juste de s’arrêter. Pourtant, vous qui mangez bien au quotidien, vous entraînez 3 fois par semaine, n’avez que 44 ans, vous retrouvez présentement entre la vie et la mort.

Allez-vous vous en sortir?

Nul ne connaît d’avance la réponse, mais votre vie ne sera plus la même, quelle que soit l’issue. Les répercussions peuvent toutefois varier. Rappelez-vous votre première rencontre avec votre conseiller financier, il y a six mois.Vous étiez alors réticent à investir dans une protection d’assurance vie, d’assurance maladies graves et d’assurance invalidité.

Vous lui aviez répondu : « Je mange bien, je m’entraîne, je suis jeune, je suis top shape! Pourquoi devrais-je m’assurer? De toute façon, j’épargnerai moi-même l’argent nécessaire pour faire face à un éventuel malheur. »

Aujourd’hui, entre la vie et la mort, je crois que vous n’aviez jamais pensé en arriver là. Le problème, c’est que peu importe l’issue de votre destinée, non seulement vous n’avez pas eu le temps d’accumuler de l’argent à cet effet, mais vous n’avez même pas commencé à le faire.

Bref, le temps que votre conjointe, qui est mère au foyer, reçoive l’appel de votre adjointe et que vos trois enfants se rendent à l’hôpital avec elle, vous saurez si vous vivrez ou pas. Vous saurez aussi si vous vous en sortirez indemne et pourrez retrouver votre forme. Dans le meilleur des cas, votre médecin vous obligera à une convalescence, une période d’invalidité pendant laquelle vous vous remettrez sur pied. Mais votre arrêt cardiaque pourrait tout autant causer votre mort… laissant ainsi à votre famille, en plus d’une grande peine, un stress financier de vivre sans argent et le fardeau de liquider votre entreprise ou d’en continuer les activités avec les moyens à leur disposition.

Qui sait ce que la vie nous réserve ?

Cette histoire est bel et bien vraie ! J’aurais pu en inventer une de toutes pièces afin de vous faire peur  pour vous inciter à passer à l’action, mais ce que je souhaite vraiment, c’est de vous aider à prendre conscience de votre propre réalité.

Vous devez simplement vous poser trois questions :

1– Si j’étais victime d’une crise cardiaque aujourd’hui et que je passais au travers, mais en devant arrêter de travailler durant 6 mois, comment mon entreprise payerait-elle ses engagements, dont ses dettes?

2– Si par malheur , un grave accident d’auto me rendait invalide pour une durée de 15 mois, comment gagnerais-je mon revenu?

3– Si je décédais aujourd’hui, est-ce que ma famille aurait assez d’argent pour maintenir son train de vie actuel sans moi?

Si vous hésitez à l’une ou l’autre de ces questions, je vous invite à prendre rendez-vous avec nous. Cette première rencontre gratuite, sans engagement, vous aidera à voir clair en ce qui concerne vos protections d’assurance maladies graves, d’assurance invalidité ou d’assurance vie. Chez Équipe VIP, habitués au rapport rendement/risque dans la gestion de nos placements, nous procédons de la même manière avec les assurances. Nous gérons les risques de votre vie pour protéger vos actifs et votre plan d’indépendance financière. Ne soyez pas de ceux qui négligent l’assurance de personnes; faites partie des entrepreneurs avertis qui protègent le rêve qu’ils se sont construit.

Sur ce, je vous souhaite de continuer à vivre passionnément pendant que la vie est bonne pour vous.

Votre coach,

Benoit Bérard